VILLES
Par les chemins nocturnes
La pluie bat son tambour
Aux orgues de la ville
Pour voir pleurer les usines
- Notre sel à mémoires -
Le galop de dix chevaux qui tournent,...
Mais les sifflets à vent ne sont que des petits cris de turbines
S'il faut battre son temps
Adieu pour ces troupeaux d'insectes
La seule usine est à sept lieux
Le courant d'air déchiqueté
Nos mains aux roues du vent
Qu'hier nous n'écoutions
La seule usine battre son eau

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